Anne-Solène Dion

Anne So Dion

Comment es tu arrivé dans l’univers du fitness et qu’as-tu fait auparavant ?

Après 20 ans de foot, une licence Staps et une belle année d’Érasmus à Barcelone, c’est pas du tout naturellement que je me suis dirigé vers le BP, avec pour objectif de changer le monde, rien que ça ! En parallèle, j’ai dû abandonner le foot (pas assez contraignant) et je l’ai remplacé par le triathlon jusqu’à démystifier le fameux Ironman (trop facile). Ca fait maintenant plus de dix ans que je suis dans le fitness.

Quelle est ton expérience en tant que coach sportif et quelle était ta clientèle ciblée ?

Ma première cible était les clients des clubs où j’ai eu la chance d’exercer et depuis un peu plus de cinq ans, j’ai aussi la possibilité d’améliorer ce monde en améliorant la compétence des instructeurs que je croise en formation, d’abord chez Les Mills et depuis plus de trois ans chez Total Freestyle.

Pilates, yoga, mais aussi biking, on peut dire que tu aimes expérimenter différentes disciplines.

Oui, clairement ! J’aime sans cesse découvrir de nouvelles choses, aussi créer des liens entre ces sports ou ces disciplines. Je n’aime pas être enfermé dans une case, car j’ai vécu dans beaucoup d’univers différents.

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Le sport a-t-il toujours fait partie de ta vie ?

Oui, et ce depuis mon plus jeune âge. Quand j’étais petite je rêvais d’être un jour une championne et d’arriver au sommet d’une discipline sportive. La gymnastique a été ma porte d’entrée dans le milieu du sport et cette une passion qui ne m’a jamais quittée, je l’ai transformée en différentes activités au cours de ma carrière professionnelle, dans le fitness d’abord et dans la course à obstacles ensuite.

Quelles sont les valeurs qui t’animent dans les cours que tu donnes ?

Le partage et la transmission sont pour moi fondamentales. Je me suis beaucoup formée par moi-même, j’ai souvent chercher énormément d’informations ou des méthodes pour résoudre telle ou telle problématique, j’aime donc faire passer mon savoir. Le plus important dans l’enseignement est que l’apprenant progresse et trouve sa voie : nous sommes avant tout des relais en tant que formateurs.

Justement, qu’attends-tu d’un participant à une formation ?

Au-delà de la progression et de son implication, j’attends qu’elle ou il se remette en question pour qu’il sorte. Ceux qui suivent mes formations doivent se sentir prêts à apprendre et intégrer des choses nouvelles pour optimiser leur façon de coacher afin d’accompagner au mieux leurs clients.

En dehors du fitness et de la course à obstacles, quels sont les sports que tu aimes ou aimerais pratiquer ?

Alors que j’aimerais pratiquer, il y a les sports de combats MMA, c’est mon côté soldat guerrier ! Et puis les sports de glisse comme le surf ou le skate. Pour le moment, je ne me suis pas lancé pleinement car je dois faire aussi attention à ne pas me blesser pour être au top lors des compétions d’OCR. Mais oui, ce sont des sensations très différentes que j’aimerais apprivoiser.

Olivier Chenu

Olivier Chenu

Quel est ton parcours depuis tes études ?

Après un DEUST métiers de la forme et une licence, j’ai passé plus de dix ans à l’Aquaboulevard en tant qu’instructeur Lesmills. J’ai animé pendant de longues années des séances de Bodypump et autres disciplines préchorégraphiées. Cela m’a apporté de la rigueur avant d’intégrer la branche freestyle du step et LIA.

Tu as toujours baigné dans le sport ?

Oui, depuis que je suis tout petit. Mon père faisait du triathlon. Dès l’âge de 6 ans, comme beaucoup d’enfants, j’ai fait du judo, mais j’ai persévéré jusqu’à l’âge de 18 ans. Beaucoup de travail, des championnats, avant de me tourner vers le fitness et le coaching.

En tant que formateur, qu’est-ce qu’un cours réussi ? 

Que les gens passent un bon moment, mais qu’ils progressent dans la convivialité. C’est important de trouver un juste équilibre entre le travail du corps et le plaisir du corps.

Y a-t-il un sport que tu aimes pratiquer en dehors du sport-boulot ?  

Oui, le squash. J’aime pratiquer avec des amis, même si c’est évidemment difficile de trouver les horaires après le boulot. On manque de temps, mais c’est une autre façon ludique de se dépenser.

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Être passionné par le sport suffit-il à développer son business dans le fitness ?

Non, je dirais que développer un business, dans le fitness ou quel qu’il soit, cela s’apprend. Cela demande beaucoup de qualités différentes : managériales, organisationnelles, commerciales, informatique, comptables et financières. Avoir des compétences business et être passionné est une excellente chose. Il y a vivre sa passion et vivre de sa passion. Le second demande toutes les qualités que j’ai énoncées.

Quelles sont les nouvelles tendances des salles de fitness ou club de remise en forme ?

Depuis la crise de la Covid, les cours en ligne se sont vraiment affirmés et sont devenus une composante forte dans l’offre fitness. D’une manière générale, les nouvelles technologie (outils de suivi, le quantified self, les applications avec de multiples fonctionnalités) doivent être intégrés dans la stratégie. Cela a un coût, mais c’est une tendance de fond qu’on ne peut pas laisser de côté. Parallèlement à tout ça, l’humain ne doit être négligé dans la réflexion globale : présence de coachs très qualifiés, accompagnement et suivi personnalisé des adhérents, conseils à haute valeur ajoutée, etc. 

Quels sont les conseils que tu donnerais à un jeune manager de salle ?

Ne pas hésiter à se former serait mon premier conseil. Souvent, on se dit « je me formerai sur le tas », mais c’est une erreur. Un bon coach sportif ou un bon commercial ne fait pas forcément un bon manager. Les erreurs peuvent coûter cher : personnel difficile à remplacer, mécontentement de la clientèle qui produit un climat tendu, parfois délétère. Donc, la formation est un axe fondamental.

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Maxime Labrousse

Maxime Labrousse

Comment as-tu découvert le fitness ?

Je joue au tennis depuis l’âge de cinq ans. J’ai participé à plusieurs championnats, mais ce que je préférais c’était la préparation physique. L’un de mes coachs m’avait alors orienté vers la remise en forme. Les Mills fut ma porte d’entrée dans le fitness et les cours collectifs. Depuis, je me suis diversifié et ouvert à beaucoup de pratiques différentes.

Tu es coach et formateur depuis plusieurs années, quelle est ta définition de la pédagogie ?

Selon moi, une bonne pédagogie suppose un sens de l’adaptation. Il faut être à l’écoute, partager et faire preuve d’empathie. Par exemple, j’aime connaître le ressenti de mes élèves avant de démarrer une séance. La formation est un milieu en pleine mutation, on se doit d’être attentifs aux nouvelles façons de faire.

Trouves-tu encore le temps de te pratiquer un sport passion pour ton plaisir personnel ?

Ce n’est pas toujours évident de dégager du temps, c’est même assez compliqué dans notre métier d’agencer la pratique personnelle du sport avec l’activité professionnelle, mais c’est toujours possible en adaptant la fréquence et le volume des cours. Pour le tennis, j’ai maintenant davantage de temps pour m’entraîner comme je le souhaite.

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Anthony Barbier

Anthony Barbier

Comment es tu arrivé dans l’univers du fitness et qu’as-tu fait auparavant ?

Après 20 ans de foot, une licence Staps et une belle année d’Érasmus à Barcelone, c’est pas du tout naturellement que je me suis dirigé vers le BP, avec pour objectif de changer le monde, rien que ça ! En parallèle, j’ai dû abandonner le foot (pas assez contraignant) et je l’ai remplacé par le triathlon jusqu’à démystifier le fameux Ironman (trop facile). Ca fait maintenant plus de dix ans que je suis dans le fitness.

Quelle est ton expérience en tant que coach sportif et quelle était ta clientèle ciblée ?

Ma première cible était les clients des clubs où j’ai eu la chance d’exercer et depuis un peu plus de cinq ans, j’ai aussi la possibilité d’améliorer ce monde en améliorant la compétence des instructeurs que je croise en formation, d’abord chez Les Mills et depuis plus de trois ans chez Total Freestyle.

Pilates, yoga, mais aussi biking, on peut dire que tu aimes expérimenter différentes disciplines.

Oui, clairement ! J’aime sans cesse découvrir de nouvelles choses, aussi créer des liens entre ces sports ou ces disciplines. Je n’aime pas être enfermé dans une case, car j’ai vécu dans beaucoup d’univers différents.

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